la roche dans la grande foret-3eme partie

Il revoyait son arrivé comme esclave à Ikourste après qu’il fut fait prisonnier quand l’armée dans laquelle il était mercenaire fut anéantie et mise en déroute par les forces du Kasar et qu’il fut déporté en tant qu’esclave dans l’est sauvage dans les mines de fer et le travail dans celles-ci. À Ikourste il n’y avait que 3 types d’habitants : les surveillants guerriers brutales envoyés ici (ici image d’un surveillant fouettant un esclave)pour surveiller les esclaves et de temps en temps des indigènes de la grande forêt qui faisaient du commerce de peaux, de gibiers, de potion en échange d’armes(ici dessins d’un indigene commercant avec un surveillant ou 2 a 3 indigenes venant vendre leur produits). Ikourste était une enclave du puissant royaume de Klabar, au sud, perdue dans l’immense forêt boréale pour exploiter le riche gisement de fer. Celui-ci était extrait par des esclaves jusqu à leur mort qui arrivait vite tant les conditions de vie et de travail était cruelles et inhumaines mais les opposants au régime du ksar, les voleurs bref tout ce que le riche royaume du Klabar comptaient de rebus ne manquaient pas. Le précieux minerai de fer était ensuite descendu par bateau le long du fleuve qui bordait Ikourste et coulait vers le sud et qui était la seule voie qui reliât Ikourste à la civilisation du sud. Il y avait seulement quelques tribus indigènes peu nombreuse qui vivaient dans les endroits les moins sauvages de la forêt. Dès son arrivée Conan songea à s’évader, mais un rapide examen de la situation et des lieux lui avait appris à faire preuve de patience. Des renseignements, glanés auprès des autres esclaves et des indigènes, il en avait déduit que la fuite la plus sure nul serait de s’enfuir vers l’est dans la forêt immense et de tirer vers le sud, dès qu’il en aurait l’opportunité, en trouvant une rivière navigable. La forêt effrayait les prisonniers qui disaient qu’aucun homme ne pouvait survivre dans cette immensité peupler de dangers menaçants.(ici dessins de la foret qu’on apercoit au loin des barricade du campement) Mais Conan n’éprouvait pas leur peur d’hommes des royaumes civilisés pour une nature inconnue et sauvage, néanmoins il prépara minutieusement sa fuite. Il se procura auprès des indigènes des lotions contre les insectes, de l’eau à feu, une peau pour résister au froid car la saison froide arrivait, en échange de couteaux qu’il avait volés. Lorsque les vols et leur auteur furent découverts Conan fut mis en cage. Lorsque les gardes vinrent le chercher pour lui donner le fouet sur la place des punitions, il n’hésita pas un instant et, il tua les trois gardes tel un tigre féroce, et s’empara d’une épée et d’un couteau puis il prit le sac contenant les potions et les peaux qu’il avait dissimulées, tua un autre garde qui arrivait à cheval pour lui prendre son cheval,(ici dessins de conan tuant le garde avec son couteau) et s’enfuit en direction de la forêt vers l’est. La réaction des gardes fut très vive quoique Conan pensait qu’ils étaient sous. La poursuite s’engagea, le cheval de Conan fut rapidement rattrapé par les guerriers qui connaissaient mieux les environs du bagne que Conan. Une flèche blessa son cheval, par chance il avait eu le temps d’atteindre la lisière de la forêt où un homme a pied se déplaçait aussi rapidement qu’à cheval. C’était ainsi que Conan avait échappé à ses poursuivants et se trouvait seul dans cette immense et inhospitalière foret.. La lueur du feu crépitait, lanceant et faisant danser des ombres dans l’obscurité menaçante des arbres entourant la clairière. Conan s’endormit comme s’endort un fauve pres à se réveiller au moindre danger. Demain de nouvelles menaces pèseraient certainement sur lui, mais il en fallait bien plus pour effrayer le barbare et lui couper le sommeil.