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Conan le cimmérien
25 août 2008

La roche dans la grande forêt-2eme partie

    Le jour se levait sur l’immense foret, l’air était frais et le ciel était parsemé de nuages. Ici dessins paysage foret Cela annonçait le commencement de la saison froide, les rayons du soleil faisaient luire les gouttes de rosée sur l’herbe et dans les branches des sapins. Le vrombissement des insectes aile n’avait pas encore commencé, seul voletait par ci et par là quelques insectes de nuits attardés. Un ou deux oiseaux poussaient des cris timides dans les hautes branches. Un craquement se fit entendre, une branche basse fut violemment poussée par un bras puissant d’un homme de haute taille qui marchait à vive allure. Il arriva dans une petite clairière. ici la forêt était moins dense, laissant place à des hautes herbes. Conan avait continué sa fuite de la veille à vive allure, il était épuisé pourtant il ne songeait pas à se reposer. Il s’arrêta observant autour de lui. Il se disait que le péril d’hier était fini, la distance entre lui et ses poursuivants était maintenant bien trop grand pour que les hommes continus à le pourchasser mais maintenant le péril venait de la forêt et de ces habitants, notamment des plus dangereux comme les grands tigrent à la force et habileté terrifiante, du grand ours qui pouvait tuer un homme d’un seul coup de patte et aux bandes de loups sauvages à la recherche de nourriture sans compter les nuées d’insectes et de moustiques dont les piqûres incessantes étaient terribles à supporter. Heureusement Conan avait son épée contre les premiers et, contre les seconds, il prit précieusement une fiole dans son sac en peau qu’il portait. Il se frotta le visage et les parties découvertes de ses membres avec la lotion contenue dans la fiole. »J’espère que le sorcier ne m’aura pas menti sur l’efficacité de son produit »se dit-il. Ensuite il songea se remplir le ventre. Si la forêt comptait de nombreux périls, elle était aussi giboyeuse et poissonneuse à souhait. Il ne mourra pas de faim, c’était sûr. Il passa la matinée à poser des pièges et il s’embusqua. sa chasse fut fructueuses. des petits lapins, des oiseaux et des poissons. Il fit un repas copieux qui lui permit de retrouver quelques forces. Après cela, il explora les environs pour trouver un lieu sur ou passer la nuit car sa fuite l’avait épuisé. Il découvrit une anfractuosité dans une petite falaise, il observa attentivement les environs pour voir si aucun habitant hostile ne logeait dans les parages puis il fit une provision de bois. la nuit tombant  il alluma un feu grâce a son flacon d’eau à feu qu’il s’était procuré. Conan s’enroula dans une peau d’ours qu’il sortit du sac et il songea aux événements qui l’avaient conduit ici. ici dessins conan aupres du feux

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Conan le cimmérien
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